#JFD15 Nouvelle scène start-up féminine : Elles ont lancé leur start-up à 25 ans

Mis à jour le  23 avril 2019

#JFD15 Nouvelle scène start-up féminine : Elles ont lancé leur start-up à 25 ans

182ee749-724b-453f-b143-321cdbc430b3.jpeg

Sommaire :

Elles avaient toutes moins de 25 ans quand elles ont créé leur entreprise. Elles, ce sont 7 jeunes entrepreneures prometteuses qui font parties de la nouvelle scène start-up française. Alors que la journée de la femme digitale se tient à Paris aujourd'hui, nous avons décidé de vous les faire découvrir en une infographie. Dans le second volet de notre dossier, découvrez ce qu'elles pensent de l'écosystème start-up en France et ce qu'elles aimeraient voir changer pour favoriser l'entrepreneuriat des femmes.

Fanny Garret

fanny

Son portrait

Avec un diplôme de Telecom Ecole de Management en poche et une première expérience dans un cabinet d'expertise comptable, j'ai profité d'une année de césure pour tester différentes idées au sein de l'incubateur de Telecom. Puis je me suis associée pour me lancer dans un projet ambitieux qui me plaisait en Mars 2012, dès l’âge de 22 ans.

Son projet

Vinoga.com est le jeu parfait pour apprendre le vin en s’amusant. Le joueur hérite d’un domaine viticole et devient vigneron. Il sélectionne ses cépages, découvre les différents terroirs, choisit ses méthodes de vinification, entretient sa vigne, et échange ses vins avec ses amis. Il peut même poursuivre son apprentissage en recevant chez lui les vins qu’il a produits virtuellement.

Ses premières victoires

Lancé fin 2014, Vinoga montre des résultats déjà très prometteurs, avec une croissance de nos joueurs de plus de 60% en 3 mois et des sessions de jeu en moyenne d’une heure par jour. Notre start-up est donc aujourd’hui en pleine phase de croissance, grâce notamment à des partenaires français et européens, comme Marmiton, le n°1 des médias de cuisine en France.

Zélie Godin-Maujaret

what if

What if

Son portrait

J'ai 24 ans, je viens de finir mon Master Entrepreneuriat à Neoma Business School Rouen. J'ai toujours voulu travailler dans le domaine de l'ESS donc j'ai fait plusieurs stages, en ONG, en fondation d'entreprise et en association pour explorer ce secteur. Et en Janvier dernier au moment de trouver un premier emploi, j'ai choisi de sauter le pas et de me lancer dans l'aventure entrepreneuriale de What if avec Laetitia, avec qui j'avais travaillé lors de mon dernier stage, et qui est à l'origine de l'idée. 

Son projet

What if c'est une solution alternative et innovante de financement des études supérieures. Grâce à une plateforme en ligne, What if met en relation des jeunes qui cherchent un coup de pouce financier pour leurs études (pour payer des frais de scolarité, un loyer, un départ à l'étranger, … bref, tout ce qui touche à la vie étudiante) avec des particuliers ou des entreprises qui veulent s'engager financièrement et les accompagner dans leurs études. 

Ses premières victoires

Aujourd'hui, What if est au moment clé du lancement. Nous mettons en ligne la version bêta de la plateforme en Avril. La 1ère version officielle est prévue pour la rentrée universitaire de Septembre. Nous sommes donc en pleine recherche des premiers étudiants et contributeurs pour participer au pilote. Nous avons déjà des supers retours d'associations de parrainage d'étudiants ainsi que des établissements d'enseignement supérieur pour s'impliquer avec nous. 

Notre ambition à 5 ans ? Permettre à plus de 6 000 étudiants de bénéficier d'un financement !

Raodath Aminou

raodath aminou

Optimiam

Son portrait

Je suis Raodath, la co-fondatrice d'OptiMiam. J'ai été diplômée en Management des Systèmes d'information en 2011 à l'ISEP (Ecole d'ingénieurs parisienne) suite à quoi j'ai travaillé en tant que Business Analyste chez Edmond de Rothschild Asset Management jusqu'à 2013. J'ai ensuite effectué un Master Innovation et Economie Numérique à l'Ecole Polytechnique dans le cadre duquel j'ai eu l'idée du concept OptiMiam, que nous développons avec mon associé Alexandre Bellage.

Son projet

OptiMiam c'est une application mobile anti-gaspi qui connecte en temps-réel les commerces de proximité aux consommateurs autour d'eux afin de vendre à temps leurs excédents alimentaires. C'est un système gagnant-gagnant grâce auquel le commerçant jette moins pour gagner plus, et le consommateur mange moins cher tout en protégeant la planète.

Ses premières victoires

Nous avons lancé notre pilote il y a 4 mois avec 8 commerçants. Aujourd'hui l'application a été téléchargée 14000 fois et nous comptons une vingtaine de commerçants dans 3 arrondissements. Nous continuons à nous développer en signant toujours plus de commerçants, et pour cela nous envisageons de lever des fonds cette année. Soutenir son projet sur wizbii

Heloise Pierre

fondatrice declic et des trucs

Déclic et des Trucs

Son portrait

Je m'appelle Héloïse, j'ai 22 ans et je viens du sud de la France. J'ai fait mes études à Sciences Po Paris, où je suis en dernière année de Master actuellement. En même temps, j'ai continué les maths jusqu'à obtenir une licence... car les maths ça me passionne ! Puis j'ai fait un Master en Sciences de l'éducation... car enseigner les maths c'est vraiment ce qui me passionne ! Puis au cours d'un stage chez Synlab, j'ai découvert l'édupreneuriat... et ce fut le déclic : j'allais entreprendre dans l'éducatif et donner vie à mes idées : j'allais faire aimer les maths à tous les français !

Son projet

Déclic et des Trucs redonne aux enfants de 7 à 10 ans le pouvoir de créer, s’amuser et apprendre… le tout dans un kit par mois ! Nous envoyons chaque mois des kits éducatifs et ludiques aux enfants. Dans chaque kit nous abordons un aspect du programme scolaire d’une manière différente : il n’y a pas de problèmes à résoudre, ni d’exercices à faire, pas de correction, mais des défis à relever ! En ouvrant son Kit, l’enfant découvre son défi du mois faisant appel à des compétences variées, par exemple faire un cube en origami pour comprendre la géométrie ou aborder les fractions avec la peinture.

Les premiers résultats

Nous avons commencé à vendre nos kits en septembre et nous avons actuellement plus de 500 clients particuliers, nous travaillons également avec 4 mairies parisiennes en leur fournissant du matériel pour le temps périscolaires. Soutenir son projet sur Wizbii 

Anne Laure de Belloy

anne-laure-de-belloy

Lucette

Son portrait

Après des études de commerce à l'ESCP et des expériences en marketing chez L'Oréal et Procter&Gamble, j'ai travaillé dans un cabinet de conseil en stratégie américain pour lequel j'ai servi principalement des clients dans le secteur des cosmétiques. Il y a un an et demi, j'ai eu l'idée de créer Lucette et je me suis lancée dans l'aventure à 100%. J'ai aujourd'hui 26 ans et je travaille avec passion sur le développement de Lucette, aidée de mon associé (et frère !) Alban.

Son projet

Lucette est le premier site qui offre aux femmes des recommandations de produits cosmétiques personnalisées, grâce à un algorithme.

Ses premières victoires

Nous avons finalisé notre première levée de fonds de 300 k€ en octobre 2014, auprès de business angels issus du secteur de la santé et de la beauté. Nous avons par ailleurs eu des retours enthousiastes de la presse qui parle de Lucette comme le futur "Tripadvisor de la beauté" !

Nous travaillons déjà sur des projets d'études de grandes marques de cosmétiques (notamment du Groupe L'Oréal), afin de les accompagner dans le lancement de leurs nouveeaux produits.

Marion Nougier

marion_nougier

Ambuly

Son Portrait

Marion Nougier, je viens de fêter mes 24 ans. Diplômée de Kedge Business School Marseille depuis 2013. Je suis responsable Marketing de la startup Wibilong (social commerce et social CRM) et responsable des partenariats de Girls in Tech Paris. Egalement Marraine de Girls in Tech Marseille. Depuis quelques mois, je passe mes soirées et mes weekend à lancer un projet personnel avec mes deux associés (Aurélie Haack (CMO) et Nicolas Goilav -CTO)

Son projet

Ambuly est une application qui améliore et facilite les transferts de patients entre les hôpitaux, établissements médicaux et domicile en un temps record avec un matériel adapté aux besoins du patient.

Ses premières victoires

Pour le moment nous en sommes toujours au stade du développement de l'application. Une première version bêta sera disponible en Juin avec un premier test sur une centaine d'infirmières et un parc de 30 ambulanciers. Nous sommes sur fonds propres pour le moment et attendons de valoriser notre bêta pour trouver des financements.

Marie Sermadiras

Maris Sermadiras soon

ZenSoon

Son portrait

Je m'appelle Marie Sermadiras et j'ai 25 ans. J'ai fait HEC Paris, en spécialisation entrepreneurs. Après une expérience en fusions-acquisitions à Londres puis une expérience en capital risque à Paris, j'ai créé ma société ZenSoon avec une amie, Mallorie Sia, à la sortie de nos études de commerce, à l'âge de 22 ans.

Son Projet

ZenSoon est la première centrale de réservation de soins de beauté et de bien-être sur internet : cette plateforme permet au consommateur de trouver son coiffeur, son institut de beauté et son spa grâce aux avis des consommateurs et de la rédaction, de réserver ou d'offrir un soin en ligne et de bénéficier d'offres promotionnelles (en moyenne 30 à 40% mais pouvant monter jusqu'à -75%).

Ses premières victoires

Mallorie et moi avons créé ZenSoon en 2012 grâce à un emprunt personnel. Après un an de validation du marché et sur fonds propres, nous avons réalisé notre première levée de fonds auprès de business angels, en particulier auprès de Denis Fayolle, l'un des fondateurs de La Fourchette. Depuis, la croissance de la société a explosé : depuis un an, notre chiffre d'affaires augmente de 40% de mois en mois et nous avons réussi à nous imposer comme le guide de référence dans le secteur de la beauté et du bien-être en France. Infographie_entrepreneuses  
Vous avez un projet de start-up ? N'hésitez pas à vous rendre sur Wizbii pour trouver votre futur associé et mettre en avant votre projet !  
URL copiée