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Vous vous êtes déjà demandé s’il y avait des gens cachés dans un distributeur automatique qui vous donne votre gourmandise ? Des personnes qui font du vélo à toute vitesse pour vous permettre de monter des étages en ascenseur ? Si ces jobs n’existent pas, il en existe d’encore plus farfelus ! Dans le milieu, on les appelle les métiers de l’ombre tellement ils sortent de nulle part. Pourtant, si pour nous ces boulots sont à des années-lumières de ce que l’on connait, pour d’autres, c’est une routine tout ce qu'il y a de plus banal. Et le pire, c’est que certains gagnent vraiment bien leur vie.
Gumologist, parce que faire des bulles n’attend pas
Passer sa journée à macher un chewing-gum vous tente ? Alors tentez surtout votre chance et devenez Gumologist et votre rêve sera réalité. Au programme : du chewing-gum, du chewing-gum,du chewing-gum et encore du chewing-gum. Vous serez en charge d’évaluer leur saveur en plus de leur durée de vie.
Cash manager, parce que vos fonds de roulement méritent ce qu’il y a de plus beau
Alors ça peut paraître bête comme ça, mais au final, il ne s’agit pas tant de passer sa journée à recevoir de l’argent, mais plutôt de la passer le nez plongé dans les chiffres continuellement. Et même plus particulièrement les fonds de roulement d’une entreprise en question. En clair, le cash manager veille aux besoins financiers de ses clients. En langage étudiant, c’est un peu le trésorier. Mais attention, comme jouer avec les chiffres peut s’avérer compliqué et risqué, la rémunération avoisine les 35 K voire les 75 K l’année pour les plus aguerris.
Sexeur de poussin, parce qu’il n’y a pas de sous-métier
Vous êtes sûrement bien au courant que l’œuf vient de la poule (épargnons-nous ce débat sans fin pour savoir qui est venu en premier, s’il vous plait) et non du coq. Jusque-là, tout va bien. Eh bien pour réussir à distinguer les poules pondeuses des coqs, il faut bien y regarder d’un peu plus près, et tout se passe dès le plus jeune âge, quand la poule est encore un petit poussin tout mignon. Voilà, c’est tout. Mais le plus beau, c’est que comme le secteur peine à recruter, le salaire fait plaisir puisqu’il monte jusqu’à 4 500 euros mensuels, soit un joli pactole de 55 000 euros par an.
Verbicruciste, parce qu’il en faut bien un, tiens
Un verbicruciste n’a de vert que le nom, puisqu’il s’agit en fait de passer ses journées à créer des grilles de mots-croisés. On n’y avait jamais vraiment pensé, mais c’est vrai qu’au fond, il faut bien quelqu’un pour les imaginer, ces mots-croisés ! Et si le nom de ce métier peu commun paraît un peu loufoque, quand on y regarde d’un peu plus près, on peut distinguer le mot « verbe » et « cruci » qui signifie « croix ». Et celui qui les résout s’appelle tout simplement le « cruciverbiste ».
Social Party Reporter, Excuseur de chantier ou pousseur dans le métro...
Dans le genre vraiment invraisemblable, on en a déniché un sacré paquet. Si vous le voulez vraiment au fond de votre cœur, prenez vos clics et vos clacs et direction le Japon où il est par exemple possible de bâtir une carrière d’Excuseur de chantier (oui, oui, certains sont vraiment payés à s’excuser auprès du voisinage pour un chantier), ou de pousseur de personnes dans le métro pour que les portes puissent fermer.
Dans le même style, on a aussi le Social Party Reporter en Australie qui consiste tout simplement à être payé(e pour faire la fête à Sydney tout en faisait la promotion d’événements dans la ville.
Sachez aussi que si vous avez fait des études de droit et que le métier d'avocat vous plombe d'avance, il y a un sacré paquet de métiers inconnus au bataillon créés juste pour vous. Les services secret (DGSE) recrute, par exemple : 600 postes s’ouvriront courant 2019. Si vous n'avez pas trop envie de jouer les James Bond, vous pouvez par contre jouer les investigateurs en chassant les héritiers.
On vous prend un billet d’avion ou le contrat à signer ?