10 types d'étudiants qu'on a tous rencontrés au moins une fois

Mis à jour le  30 avril 2019

10 types d'étudiants qu'on a tous rencontrés au moins une fois

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Sommaire :

Dernier jour de lycée, en mode révision du bac et approche de l’été, comme une envie de liberté et d’insouciance. Très vite, vous vous inscrivez dans l’école de votre choix, plein d’espoir et d’attentes, convaincu que votre vie est sur le point de changer du tout au tout, simplement en traversant pour la première fois les portes de l’université.

Désolée de vous l’apprendre, mais la fac c’est comme le lycée, à quelques différences près : Si d’un côté vous n’aurez plus le stress du contrôle surprise qui arrive sans crier gare, de l’autre, vous n’éprouverez plus le même plaisir à sécher les cours sans que vos parents l’apprennent. Finies les interminables heures de révisions, à apprendre des matières dont vous n’avez strictement rien à faire, et bienvenue les partiels obligatoires que vous vous retrouverez à préparer la veille au soir. La fac, c’est surtout les retrouvailles avec tous ces types d’élèves connus au cours de vos années lycées, version 2.0, améliorés ou empirés. Alors quels sont donc les 10 types d’étudiants à l'université que nous avons tous rencontrés au moins une fois dans notre vie ?

L’intello

Celui-là on ne peut absolument pas le manquer, surtout dans un environnement où l’objectif principal est de réviser. Et en effet, pour lui c’est plus que vital. Il ne peut rien y faire, c’est dans sa nature, il doit préparer un vrai plan de révisions pour n’importe quelle situation, même quand il s’agit de mémoriser les instructions qui expliquent comment décongeler des bâtonnets de poisson pané.  Il sait tout et se rappelle de tout, comprend quoi que ce soit, parfois simplement grâce à son intelligence innée (tant mieux pour lui). Et surtout il met dans ses révisions un effort que nous, communs mortels, nous ne pourrions jamais comprendre.

Le « je-sais-tout »

Complètement différent de l’intello, le « je-sais-tout », contrairement à ce que dirait Socrate, est convaincu de tout savoir mais en fait c’est juste en apparence. C’est le type qui paraît trop sûr de lui et qui, avant un exam, explique à qui veut l’entendre qu’il connaît même l’âge et la couleur préférée de l’arrière grand-mère du prof. Bien évidemment il s’en sort avec un pauvre 9, et en plus dont il est fier, mais qu’il attribuera à un coup de malchance.

Le pique-assiette

C’est lui qui reçoit son diplôme grâce à la générosité et à l’habileté d’autrui. Le premier jour de cours, avec le talent d’un sniper, il repère les potentiels intellos, devient leur ami et les accroche au char du vainqueur, les trainant comme un fardeau jusqu’à ce qu’on lui remette sa couronne de laurier, tant méritée. Que dire de plus si ce n’est qu’en amour comme à la guerre, même à l’université tous les coups sont permis.

Le fainéant

Lui je me l’imagine comme une voiture : il est garé devant l’université depuis des années, mais ça ne le dérange pour rien au monde. Il n’a pas envie de réviser et encore moins d’assister au cours. En fait il ne veut strictement rien faire qui soit de prêt ou de loin en lien avec l’université. Probablement, ce qu’il préfère c’est le fait de se sentir jeune, même s’il a 40 ans, les cheveux poivre et sel et trois enfants. Le seul point positif : étant désormais un universitaire vintage, il vous racontera tous les petits trucs et astuces utiles pour vous faire arriver jusqu’au diplôme. Lui il n’a jamais pu les utiliser, mais à vous ils pourraient être utiles.

Le modeste

Il est identifié par l’axiome « je ne sais rien » auquel s’ajoute un surprenant, (on ne s’y attendait pas… #sarcasme), 20 sur 20. Et on ne s’étonnera pas non plus de la surprise qui illumine son visage lorsqu’il aura le courage de pousser un petit cris de joie : « Je n’arrive pas à y croire ».  Mais. Bien. Sûr.

L’envieux

On pourrait croire que ce sont nous les envieux du modeste, parce qu’il n’a que des bonnes notes même s’il prétend de rien savoir (Dieu que c’est énervant), ou de l’intello qui connaît toujours tout, mais le vrai jaloux est envieux de tout et de tous, sans distinctions. Disons qu’il est très généreux dans sa jalousie. Il commente n’importe quel fait et geste, révélateur ou non, en soupirant un léger « quelle chance ». 

Le malchanceux

En réalité le malchanceux est une personnalité plutôt subjective, car ce que nous considérons de looser pourrait également dire que nous sommes ceux à avoir la poisse. Toutefois, ce qui est généralement identifié comme malchanceux est, dans la plupart des cas, juste un pauvre mec qui s’habille peut-être encore avec les pulls offerts par sa maman, qui ne parle pas beaucoup et qui suit le cours de sa vie silencieusement, participant juste ce qu’il faut à la vie étudiante. Il suffirait simplement de cinq minutes pour aller lui parler et se rendre compte qu’en fait c’est une chouette personne, pleine de choses intéressantes à partager.

Le bizarre

Lui aussi on n’arrive pas bien à l’identifier, il peut être tout et n’importe quoi. Il est différent du malchanceux car le malchanceux a la poisse, alors que le bizarre peut être bizarre de mille façons différentes : parler tout seul, parler à n’importe qui, s’habille uniquement en jaune, se nourrir que de biscottes, être fou d’arbalètes de 1400… Ecoutez, le monde est beau parce qu’il est varié et selon moi ça pourrait être très intéressant de partager quelques mots avec des personnes qui n’ont pas les mêmes intérêts que vous.  Assurez vous simplement qu’il ne s’agisse pas d’un serial killer, puis invitez-le à boire un café.

Le snob

Où que vous soyez, il vous inspirera une liste appelée « 100 façons de l’énerver ». Le snob est toujours habillé de façon « trendy », si c’est un mec il porte une chemise, si c’est une fille, elle sort avec un sac d’un milliard d’euro, et n’est entouré que de personnes « de son genre » (à savoir une bande de snobs également) qui ne font que des choses « grave stylées ».  Les guillemets sous-entendent également que le snob parle avec un lexique bien à lui, que les autres personnes trouvent ridicule et insensé. Cela explique probablement pourquoi le snob et le reste des étudiants n’arrivent pas à communiquer. (Il ne leur accorde aucune importante de toute façon vu que pour lui, nous ne sommes que des loosers).

Le social

C’est l’homme qui murmurait à la batterie de l’Iphone. Il passe le plus clair de son temps sur Facebook, Instagram, Twitter, Snapchat, et autres, partageant et écrivant un post à chaque fois qu’il se passe un truc. Mais son véritable moment de bonheur est au cours des soirées étudiantes : partager l’événement devient son objectif premier de la journée, plus important encore de respirer ou de manger. Vous le reconnaitrez parce que, par définition, il est ami de tous et connaît tout le monde, bref il est social à n’importe quel moment.

Et vous, quels types d’étudiants universitaires avez-vous connus ? Vos commentaires sont les bienvenus :)

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