Etude SparkUp : 5 stats surprenantes sur l’écosystème Start-up français


Etude SparkUp : 5 stats surprenantes sur l’écosystème Start-up français

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Sommaire :

Dans la vie – surtout professionnelle -, tout est une histoire de réseau. Tu as le bras long ? Alors trouver un bon investisseur sera moins difficile. Tu n’as pas un bon carnet d’adresses, alors essaie d’optimiser au maximum tes relations amicales familiales et pro, qu’ils te donnent un petit coup de pouce. Tu ne sais pas comment t’y prendre ? SparkUp est là pour aider les start-up à lever des fonds. Cerise sur le gâteau : SparkUp a réalisé une petite étude aux oignons, auprès de 2000 start-up françaises.

SparkUp, le générateur de rendez-vous pour lever des fonds

"Chercher du financement aujourd'hui c'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin. SparkUp met le feu à la botte de foin et passe le détecteur de métal."

SparkUp c'est la technologie qui permet de faire émerger toutes les opportunités d'investissement issues du réseau des entreprises sur un très court laps de temps. SparkUp, en bonne start-up qui se respecte, permet aux entreprises de communiquer en masse à leur réseau, de manière personnalisée via du marketing automation, emailing, CRM et relances comportementales jusqu'à obtention de rendez-vous générant des opportunités d'investissement.

5 stats pour les entrepreneurs qui veulent mobiliser des capitaux

On se le cache pas, la collecte de fonds (sans aide), c’est loin d’être facile. Pour nous permettre d’y voir plus clair, SparkUp a sondé plusieurs dirigeants. Entre les réponses reçues et leur expérience, on se retrouve avec pas mal de matière pour effectuer une analyse prédictive de la réussite de la collecte de fonds

Vendre avant de collecter, c’est gagner en efficacité

Ok, investir dans une start-up ou une PME, c’est souvent synonyme de risque. Mais investir dans une société qui n’a encore aucun consommateur à son compteur, c’est plutôt du suicide social. Et quand bien même ces start-up sans revenu réussissent à lever des fonds, ces derniers ne grimperont pas au rideau quand on les compare aux start-up avec profits.

Ne navigue pas solo matelot

Déjà que démarrer une entreprise c’est plutôt du level big boss, le faire seul c’est aller droit au mur – pour la plupart. Idem pour la collecte de fonds, qui, en plus, dure généralement de 2 à 6 mois. C’est donc du temps, de l’énergie et de la sueur qui se rajoute sur ton petit dos d’entrepreneur qui doit en plus faire son taf habituel.

En plus, la levée de fonds des start-up concerne pour beaucoup les réseaux perso et pro des entrepreneurs. Autant voir large, deux réseaux valent toujours mieux qu’un ;)

L’avenir pro appartient à ceux qui entreprennent tôt

Spoiler Alert ! Nombreux sont ceux qui préfèrent investir dans une team de petits jeunots sans un sous et qui ne demande qu’à gagner en expérience que de se lancer corps et âme dans une troupe de gestionnaires trentenaires débordant d’expérience dans le secteur. Sparkup affirme grâce à cette étude et leur connaissance en la matière, que commencer tôt c’est le début du bonheur.

Mais, en fait, pourquoi ?


Les petits jeunes entrepreneurs possèdent un réel avantage. Qui dit jeunesse, dit moins de responsabilité financière, du temps à revendre et un potentiel d’apprentissage à en faire pâlir plus d’un. Mais qui dit aussi fleur de l’âge dit possibilité de diriger plus longtemps si sa société crie victoire et triomphe.

Regarde d’un peu plus près. Bill Gates a créé Microsoft à 20 ans, Mark Zuckerberg Facebook à 20, Steve Jobs Apple à 21, Richard Branson Virgin à 22, Drew Houston Dropbox à 25 ans, Brian Chesky Airbnb à 27 ans, bref, tu as compris. Tels de vrais Pokémon légendaires, ces personnes qui ont entreprit jeunes, ont surtout réussi.

La clarté éclaire ton chemin entrepreneurial

Il faut bien faire la différence entre les B2C et les B2B. Ces petites canailles de B2C - business to consumer - sont plus à même de recueillir des fonds auprès de leur cercle amical ou d’investisseur ponctuels. Pourquoi ? Tout le monde peut comprendre la valeur ajoutée du bien ou service que tu proposes.

Du côté des B2B - comprends business to business -, vu qu’ils développent des technologies ou services très spécifiques, ça n’attise pas franchement la curiosité des gens, pas la même, du moins. 

Du coup, ces investisseurs potentiels qui auraient la capacité de comprendre ce que tu proposes et qui veulent y investir derrière, sont assez difficile à dénicher, surtout si la start-up est encore en phase de recherches et de développement. Eh oui, si l’investisseur potentiel doit revoir la R&D et la comparer à la technique actuelle dans le secteur, ça peut en freiner quelques uns, surtout au niveau du coût de cet examen.

Mais petit futur B2B sèche tes larmes, viser uniquement les entreprises comporte aussi des petits avantages ! Comme les entreprises sont plus riches que les particuliers c’est plus facile de générer des revenus et, de facto, prouver plus simplement le market fit. D’un autre côté, on sait aussi que les clients investissent dans leur fournisseur. Les start-up tournées business ont donc plus de chance de recevoir un investissement de leur client.

Et du côté des hybrides ?

Ces B2B2C, tournés vers le business et le consumer, ont un taux de réussite plus faible. Réfléchis. Si tout le monde est ta cible, personne ne l’est. Si tu n’as pas de cible spécifique, ça devient tout de suite un peu plus galère. Avoir une petite cible au début est primordial. Ensuite, tu peux la développer en fonction de ton expérience !

Tes cofondateurs expérimentés sont tes alliés

Ici, SparkUp a décidé de corréler les entrepreneurs ratés, les modérément prospères et les bleus. La moitié des vétérans ont signalé que leur précédent business avait échoué. Mais, l’autre moitié a-t-elle cassé la baraque ou réussi que modérément ? Du coup, ce qui différencie le vétéran du reste du monde c’est que l’expérience et les enseignements qu’il en a tiré lui a donné la capacité d'avancer

L’entrepreneur expérimenté est prêt à utiliser son réseau pour l’investissement et la croissance de son projet. Non seulement il est implacable dans sa quête, mais surtout imperturbable par le refus.

SparkUp, après avoir participé à la collecte de fonds pour non moins 80 entreprises, retient une chose :

« Vous ne savez jamais d’où vient l’argent avant que la campagne ne soit lancée. Puisque l’argent provient d’investisseurs inattendus, il est important de frapper à toutes les portes »

On dit merci à SparkUp pour leur initiative que l'on salue tous !

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