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On dit que nous sommes riches de nos différences et que “la variété est la vraie épice de la vie qui lui donne toute sa saveur”. Seulement, il y a quelques épices qu’on aimerait bien esquiver (un peu comme le clou de girofle dans la choucroute alsacienne, beurk)... Par exemple, ce genre de personnes que l’on retrouve systématiquement dans chaque entreprise. Encore plus cliché que les blagues sur les blondes (mais surtout beaucoup plus vrai !), voici les 8 types de collègues super horripilants que l’on trouve dans presque tous les bureaux !
1. La commère
Un peu à l’image de votre grand-mère qui connaît tous les ragots du quartier, la commère (c’est un nom féminin mais c’est largement applicable aux hommes) est toujours en train de fouiner partout, les oreilles collées au mur, puis toujours à chuchoter et à se taire quand quelqu’un arrive. Elle sait par exemple que Ninon des RH a fricoté avec Martin du commercial (enfin, il paraît) et que le chien de Marie-Sophie de la compta’ s’est fait écraser ce weekend (d’où les cernes de panda de Marie-Soph’ lundi matin, la pauvre). Un conseil, fuyez la commère de service, qu’il/elle soit gentil(le) ou non si vous ne voulez pas entendre une rumeur sur vous dans les prochains mois (“c’est vrai que t’as un troisième téton ? C’est Patricia qui m’a dit que Géraldine lui avait dit qu’elle avait entendu dire ...”)
2. Candide ou l’Optimiste
L’Optimiste est cette personne tellement heureuse de vivre que même en marchant dans la crotte de chien dès le matin, elle y verrait un signe positif du destin (alors qu’en vrai, pied gauche ou pied droit, ça pue. Vraiment.). Donc il/elle déambulera toujours dans les bureaux, le sourire aux lèvres, prêt(e) à vous complimenter sur votre nouvelle coupe de cheveux (alors que vous n’êtes pas allé(e) chez le coiffeur, c’est juste que votre fille de trois ans s’est découvert un grand intérêt pour les ciseaux, malheureusement) ou à vous réconforter quand ça ne va pas. Vous vous demandez à la longue si il/elle est vraiment humain(e), parce que quelqu’un qui ne râle jamais... ça énerve un peu quand même.3. Le kéké
Les cheveux gélifiés plaqués en arrière, des vêtements toujours impeccables, se baladant dans les bureaux avec la prétention d’être plus canon que Ryan Gosling... voilà comment on repère LE kéké de la boîte. Quand il vient vous parler, il vous fait comprendre que vous devez vous sentir hyper flattée qu’il liquide quelques minutes de sa journée pour vous adresser la parole. Vous ne l’avez jamais vu concrètement travailler, mais à l’entendre, il va gravir les échelons encore plus vite que quiconque dans la boîte. Tout simplement parce qu’il est formidable.Ne le fuyez pas, à se prendre pour George Clooney, il a un petit air de Georges le clown, et ça, c’est super rigolo (malgré lui).
4. Le nouveau/la nouvelle
Heureusement, comme son nom l’indique, le nouveau/la nouvelle n’est qu’un personnage éphémère. C’est donc la nouvelle recrue, tout fraîchement débarquée dans l’entreprise, qui va vouloir révolutionner la société avec ses idées fleurissantes. Ce qui est le plus énervant, ce n’est pas son enthousiasme et son ambition, mais le fait qu’il/elle pense qu’on peut changer l’organisation d’un claquement de doigts et avec des jolies idées. Parce qu’au passage, ça fait 5 ans que vous demandez avec les collègues, de changer l’imprimante du troisième... alors migrer le site sur un nouvel hébergeur...5. Le/la flemmard(e)
À moins que votre patron prête une attention toute particulière à ses employés, il y a toujours un flemmard au bureau. Vous savez, celui qui arrive toujours avec 20 minutes de retard, se faufile avant 17 heures, et prend sans remord, deux heures à la pause déj’. Quand il/elle n’est pas en train de textoter avec sa nouvelle conquête ou de faire sa liste de courses, il/elle baille bruyamment en balançant le même “J’suis creeeevéééééée” quotidien. Ce qui vous interpelle le plus n’est pas sa façon d’être mais surtout sa présence : mais comment peut-il/elle encore avoir son job ?6. Le/la bavard(e)
Il est 9h30 et vous savez déjà tout ce qu’il/elle a fait ce weekend, sa dispute avec son/sa copain/ine, son rendez-vous chez le dentiste de vendredi soir, ce qu’il/elle a mangé la veille et sa mycose aux ongles des pieds. En 15 minutes, vous n’avez pas réussi à en placer une, vous avez d’ailleurs arrêté de l’écouter à la 4ème minute. Vous pourriez avoir un crayon planté dans l’oeil, il/elle ne le remarquerait même pas.7. Le/la harceleur/se
Si quelqu’un vous disait qu’il ou elle a déjà été poursuivi(e) à plusieurs reprises pour harcèlement, vous ne seriez même pas surpris(e) même une discussion super banale avec lui/elle peut vous sembler malsaine. Le regard pervers, le rictus flippant, et une tendance à être hyper tactile, il/elle fait toujours des sous-entendus avec l’esprit mal placé. Un conseil : dites-lui carrément qu’il/elle vous dégoûte. C’est cash mais efficace.8. Le/la condamné(e) à vie
Il/elle fait plus que partie de la boîte, à mi-chemin entre un fossile et un meuble de bureau, il/elle travaille dans l’entreprise depuis 1977 (et a perdu sa joie de vivre quelque part dans le milieu des années 90). Il/elle a vu des dizaines (voire des centaines) de visages et pourtant il/elle est toujours là. Il/elle est super à l’aise mais aussi super blasé(e) (Droopy paraît vachement fun à côté de lui/elle) de la vie étant donné qu’il/elle manque un peu de nouveauté. Et vous, vous en connaissez d’autres des collègues agaçants ? !